Les temps sont durs pour tout le monde. En politique plus qu'ailleurs (semble-t-il).
Après plus de 500 jours de négociations, nos représentants nous refond le coup du blocage. Sincèrement, j'ai du mal à comprendre pourquoi ces gens, payé à des salaires dépassant souvent les 10.000€ par mois ne parviennent pas à se mettre d'accord pour faire leur travaille.
Je comprends bien que l'Europe appelle à certains résultats et que les libéraux puissent se sentir "fort" politiquement parlant quand l'on voit se qui se passe chez nos voisins mais... vouloir s'imposer au point de risquer tant pour le pays en vaut-il la peine ?

Je ne peux que supposer que seul l'avenir nous le dira...

J'envisage de créer un nouveau blog, plus professionnel, ou en tout cas, moins envahis par les pubs, cependant je ne lâche pas ce blog-ci.
Je vais probablement y poster des image/dessins/illu plus libre et plus personnel.

Je commence avec ce petit dessin qui représente mes inquiétudes vis-à-vis de la situation politique en Belgique.
Tout d'abord, je tien à préciser que je comprends et respecte le travaille fournis par Elio Di Rupo lors de sa dernière mission de formateur. Mon but n'est pas d'insulter qui que ce soit, mais d'illustrer ce que j'ai sur le cœur.
Quand je repense à tout ce qui s'est passé depuis le début de cette crise et que je vois ce qui se passe aujourd'hui ... un partis qui détruit notre gouvernement, un blocage de plus d'un ans, les concessions régulière consentie par les représentant politique francophone ... je ne peux m'empêcher de penser que les Flamands ont eu raison d'agir comme il l'ont fait, aussi scandaleux que ce soit, puisque nos représentant les récompenses en cédant à leur exigences. L’image la plus forte qui me vient à l'esprit est une agression Flamande, tout pénis dressé devant une résistance effarouché wallonne qui petit à petit lâche la ceinture pour s'apprêter à tomber le pantalon et à écarter les fesses.

Si j'éprouve une certaine joie de savoir que de ces négociations subsiste encore des chances de sauver la Belgique, j'éprouve aujourd'hui une certaine honte d'être wallon.

Le thème est une histoire un peut triste, celle d'une jeune allemande qui un soir juste avant noël reçois un coup de téléphone de la part de son ex petit-ami, celui-ci l'invitant à passer le réveillon ensemble. Elle accepte, mais se remémorant leur ancienne histoire, se met à éprouver du stress à l'idée de ces retrouvailles.
Elle sort en quête d'un cadeau à lui offrir et tombe sur cette grosse peluche en forme de cochon qu'elle avait vu là depuis longtemps. Elle décida que ce serait lui son cadeaux cependant, tout au long de son voyage, elle s'attachât à la peluche, d'autant que tout les paysages qu'elle vu en chemin étaient maussades et aucun des visages souriant, excepté quand les gens croisaient le gros cochon qu'elle avait secrètement appelé "Erika". Ainsi Erika remettait du baume et de la joie au cœur de quiconque la croisa, renforçant encore l'attachement de la demoiselle pour lui.
Une fois arrivé à la station de train auquel elle devait descendre et où le jeune homme l'attendait elle fut prise de doute. Le train repris sa course et elle demeura là avec Erika dont elle ne voulus plus se séparer. Elle finit par se reprendre un peut et elle descendit à une station proche de la frontière entre la suisse et l'Italie. Elle frappa à la porte d'un petit restaurant en espérant trouver refuge pour la nuit. Là, un gros bonhomme se refusa à la laisser entrer pour finalement céder. Ils passèrent leur soirée à parler de leur malheurs respectifs et elle apprit donc que cet homme était resté sur son lieux de travaille parce que sa femme l'avait laissé tomber, emmenant leur enfants avec elle. Selon ses dires, il aurait laissé la jeune femme entrer parce qu'Erika lui rappelait sa bonne grosse ex-femme. Triste pour lui, elle lui abandonna Erika au petit matin, l'homme s'étant endormis sur la peluche, elle ne pris pas la peine de le réveiller et partis sans un bruit, souhaitant silencieusement qu'Erika pourrait le réconforter.
Le seul mot qu'elle donna à son ex petit-ami fut un succinct adieu.

Travaille fait à l'Acrylique.

 La première illustration reprend le trajet en taxi avant de prendre le train, quand au deuxième le gros bonhomme, seul avec Erika.

Pour celui-ci, il fallait illustrer la tête d'un animale, légèrement humanisé si nécessaire, mais qui devait avoir l'air stupide.

Bon, si vous voulez avoir une meilleur représentation de l'idée que je voulais exploiter, je vous recommande de vous imaginer que le symbole de playboy est visible quelque part sur le document qu'il tien x)

Pour la technique, j'ai collé de la gaze (le machin médicale qu’on met sous les pansements en cas de brûlure notemment) sur un grand carton de 60x80 cm si ma mémoire est bonne. Ensuite, il faut blanchir avec plusieurs couche de blanc très dilué (sinon l'acrylique rempli les trous de la gaze). Tous le travaille se fait avec des coucher de couleur très dilué pour les même raisons. Il n'y a qu'à la toute fin où l'on peut utiliser de la peinture un peut plus épaisse.

Thème : un hommage à Hergé.

Nous étions totalement libre de l'idée à illustré tant que celà mettait des personnages de l'univers de Tintin en scène.
Tous les fans de Tintin savent que le professeur tournesol a fabriqué un petit submersible qui ressemble beaucoup à un dauphin. Et bien mon idée était de montrer de vilains poissons se promener parmi nous à bord d'un grand "émergecible" à l'effigie du professeur. Une petite vengeance marrante en quelque sorte :)

Tous le travaille a été effectué à l'acrylique. Tout d'abord il a fallut mettre beaucoup d'acrylique blanche pure dans le but de faire transparaitre des coups de pinceaux et ainsi amener du volume sur lequel travailler. La suite est travaillée de manière plus traditionnelle.

Ma première illustration de l'année !

Il s'agissait de produire un travaille destiné à servir d'étiquette de bouteille de vin (virtuel hein, ce n'est qu'un exercice :p ).
J'ai choisis une bouteille qui portait pour titre "le collier de la toison d'or".
Mon idée était d'illustrer un pendentif représentant le signe astrologique des béliers. (Pour rappelle, la créature mythologique d'ont serrait issu la toison d'or est également la créature qui fut transformée en constellation étoilée du signe des béliers).
Je voulais rappeler l'idée de pelage sur les motifs du fond.

Le travaille a été fait à l'acrylique. J'ai utilisé de l'acrylique pur pour créer les volumes du fond. J'ai fait un dégradé dessus pour ensuite passer des coups de pinceaux avec de l'acrylique blanche très sèche pour faire ressortir les volumes des motifs de poiles.
Le pendentif a d'abord été fait avec un aplat d'une couleur contrastante par rapport au résultat souhaité, après quoi j'ai travaillé les dégradés avec de l'acrylique sèche également, mais travaillée différemment.

Nouveau travaille sur les vêtements, à l'encre de chine toujours.

Ces croquis sont la résultante de la seule séance de nu auquel nous avons eu droit à ma connaissance ... avec les problème de gel et de verglas de cette fin d'année, je n'ai pas toujours é&té très présent en cette fin d'année ... oui, j'ai honte :p

Quelques croquis avec modèle et un petit accessoire : un cerceau !

Travaille toujours fait à l'encre de chine ...

petite parenthèse : cette année, je vais devoir faire un travaille de fin d'étude pour clôturer ma formation. Je compte employé de l'encre de chine couleur entre autre, je vai donc continuer à travailler avec cet outils pour mes croquis afin de parfaire ma technique. Ce n'est donc pas la dernière fois que vous en verrez x)

Une autre étude de mains, mais cette fois-ci à l'encre de chine.